L’Audi SQ8 2025 est ce que les VUS hautes performances devraient être

Il y a moins d’une semaine, j’ai conduit quatre SUV Audi coup sur coup : le Q7, le Q8, le SQ7 et le SQ8, tous en une seule journée. Chacun des quatre modèles a montré un aspect différent de l’identité actuelle d’Audi, mais un seul a montré à quel point les choses pouvaient vraiment bien se passer pour l’entreprise : le SQ8.Lorsque j’ai atteint mon point le plus bas lors de ce voyage de presse, le SQ8 était exactement la voiture dont j’avais besoin. Mon dernier trajet de la journée, celui que je redoutais le plus, s’est avéré être de loin la meilleure expérience des quatre. Et, pour Audi, ce n’est même pas la meilleure des meilleures. Divulgation complète : Audi m’a envoyé dans l’Utah pour conduire quatre crossovers (et conduire un VTT) en même temps. Les Q7, SQ7, Q8 et SQ8 ont tous été légèrement mis à jour, et entre les petits changements et les trajets plus courts, ces critiques ne seront probablement pas les épopées de 1 600 mots que vous attendez de ma part. Audi a payé mon transport, mon logement et ma nourriture.Avant la voiture, un peu d’histoire. Si vous lisez les paragraphes de divulgation sur les critiques de voitures, vous remarquerez que les journalistes se rendent dans toutes sortes d’endroits intéressants pour conduire de nouvelles voitures. Lorsque Audi a proposé un voyage dans l’Utah pour cette journée à quatre crossovers, j’ai fait mes recherches habituelles avant le voyage, en cherchant sur Google si c’était être transsexuel en toute sécurité dans une zone donnée — et j’ai décidé que je voulais y participer, malgré les risques que représentait cet État. Ce que je n’avais pas réalisé, cependant, c’est que j’avais manqué un élément important de l’évaluation des risques. Il s’avère que l’Utah est situé bien en hauteur. J’ai vécu presque toute ma vie dans des régions basses du Nord-Est, à quelques centimètres du niveau de la mer, et soudain, j’ai été transporté à des milliers de mètres d’altitude dans une atmosphère de plus en plus raréfiée, avec des journées chaudes et sèches et des nuits froides. J’ai mal dormi, j’ai mal respiré et j’ai mal réagi lorsque les altimètres des tableaux de bord des Audi ont commencé à augmenter sans cesse.

Au moment où l’on m’a remis les clés du SQ8, j’ai ressenti

mauvais. J’avais franchi la barre des 9 500 pieds d’altitude plus tôt dans la journée, soit plus haut que la ligne de départ de Pikes Peak, et l’altitude commençait vraiment à me peser. J’étais le dernier du groupe, je conduisais le plus lentement pour éviter les nausées, et soudain, je me suis retrouvé au volant du véhicule le plus performant de la liste. Super. J’avais également été clairement conscient, grâce aux panneaux et aux drapeaux sur les quelques maisons qui parsemaient le trajet, que ce n’était pas un endroit où je pouvais m’arrêter pour me reposer et respirer. L’Utah est

légalement opposé aux personnes trans, et l’opinion publique dans certaines parties de l’État semble suivre. Le SQ8 avait besoin de me ramener à la sécurité de l’hôtel, et rapidement

, sans me pousser au bord du vomissement induit par l’altitude. Si le SQ8 avait été un autre coupé-multisegment performant, disons un Mercedes AMG GLC 43 Coupé, j’aurais vomi avant d’ouvrir la portière du conducteur rien qu’en le voyant. S’il s’était agi d’un BMW X6 M, la conduite cahoteuse aurait eu le même effet après deux virages. Mais dans le SQ8, j’ai rapidement réalisé que tout irait bien. Je ne serais pas le plus rapide, je n’aurais pas les meilleurs sommets, mais je ne succomberais pas non plus à la nausée. Le SQ8 n’est pas un coupé AMG GLC ou un X6M, et c’est tant mieux. C’est un véhicule plus calme et plus posé, grâce à cet espace vide au-dessus de lui dans la gamme, le RSQ8, qui n’a pas encore reçu le nouveau lifting du modèle SQ. Le SQ8 n’a pas besoin de se donner à fond, il doit juste être un bon multisegment doté d’une certaine puissance.

Cette puissance, dans le SQ8, n’est pas écrasante. Elle ne vous fera pas coincer dans votre siège. Elle sera cependant offerte avec contrôle, précision et prévisibilité — trois choses qui comptent bien plus que des chiffres de zéro à 60. Le SQ8 annonce une puissance de 500 chevaux et 568 lb-pi de couple, mais ces chiffres peuvent être joués avec l’habileté d’un pianiste de concert. Jamais plus ou moins de puissance que ce que vous désirez.La transmission ZF 8HP, réajustée à partir de la Q8 de base, est également utile ici. Alors que la voiture de base est lente à changer de vitesse et nécessite beaucoup d’efforts avant de comprendre votre intention, la version SQ est bien améliorée. Ce n’est pas la réponse quasi télépathique que certains autres constructeurs accordent à leurs ZF, mais elle surprend rarement par un mauvais mouvement. Grâce à une suspension confortable mais bien ancrée et à une transmission qui semblait en phase avec ma conduite, j’ai pu franchir une dernière fois le seuil de 9 500 pieds. J’ai pu me frayer un chemin à travers les forêts et les réserves de l’Utah, gagnant de l’oxygène dans mes poumons à chaque chiffre qui descendait sur l’altimètre. Après une journée de crossovers Audi qui m’avaient semblé en désaccord, incertains dans leurs objectifs, l’objectif du SQ8 était simple : me ramener à l’hôtel. L’altitude affichée sur le tableau de bord du SQ8 continuait de décompter, et la route sinueuse s’ouvrait finalement sur un belvédère magnifiquement éclairé. Isolé des résidences voisines, je me sentais en sécurité pour enfin m’arrêter pour prendre des photos - mon dernier tour autour d’une Audi, appareil photo en main, pour la journée. La palette de couleurs bleu sur gris ne m’a peut-être pas parlé, mais la subtilité de l’apparence de l’Audi, si. Elle ne criait pas performances

comme son compagnon de plateforme Urus, il ne criait rien du tout. Juste un crossover, comme n’importe quel autre, qui avait la puissance, la finesse et la douceur dont j’avais besoin. Audi traverse actuellement une période de croissance délicate de sa carrière. Elle a tout misé sur les véhicules électriques, a fait machine arrière et essaie désormais de se différencier de ses concurrents grâce à la « technologie » tout en proposant les mêmes fonctionnalités que beaucoup d’entre eux, plus des fonds d’écran à 13 $ pour votre console centrale. Il n’y a pas vraiment de raison de choisir une Audi plutôt que la concurrence allemande, qui se spécialise davantage dans les performances ou le confort.Mais, avec le SQ8, Audi a t trouvé un attrait. Par sa vertu moyenne — son refus de faire quoi que ce soit unique — il sort du seul au milieu d’une foule de différents éléments. C’est un touche-à-tout, mais parfois c’est exactement ce qu’il faut — quelque chose qui fait le travail, pour une définition large de ce que dit le terme. De la gamme de multisegments haut de gamme d’Audi, le SQ8 a le meilleur argumentaire de vente. C’est le multisegment pour les vrais gens. quickly, without pushing me over the altitude-induced edge of puking.

Had the SQ8 instead been another performance coupe-crossover, say a Mercedes AMG GLC 43 Coupe, I’d have thrown up before opening the driver’s door from the sight of it alone. Had it been a BMW X6 M, the bumpy ride would have had the same effect after two corners. But in the SQ8, I quickly realized that I would be okay. I wouldn’t be the fastest, I wouldn’t have the best apexes, but I wouldn’t succumb to nausea either.

The SQ8 is not an AMG GLC Coupe or an X6M, and it’s all the better for it. It’s a calmer, more sedate vehicle, owing to that blank space above it in the lineup — the RSQ8, which has yet to receive the fresh facelift of the SQ model. The SQ8 doesn’t need to go all-out, it just needs to be a good crossover with some power.

That power, in the SQ8, is not overwhelming. It will not pin you back in your seat. It will, however, come on with control, precision, and predictability — three things that matter far more than zero to 60 numbers. The SQ8 claims 500 horsepower and 568 lb-ft of torque, but those numbers can be played with the skill of a concert pianist. Never more, or less, power than you desire.

The ZF 8HP transmission, retuned from the base Q8, helps here as well. Where the base car is slow to shift and requires considerable prodding before it’ll understand your intent, the SQ version is much improved. It’s not the near-telepathic response that some other manufacturers tune into their ZFs, but it rarely surprises with a wrong move.

With comfortable-yet-planted suspension and a drivetrain that felt in sync with my driving, I was able to cross that 9,500-foot threshold one last time. I was able to wind my way down through Utah’s forests and reserves, gaining oxygen in my lungs with every number that ticked down on the altimeter. After a day of Audi crossovers that had felt at odds with me, uncertain in their aims, the SQ8's goal was simple: Get me back to the hotel.

The altitude on the SQ8's dash kept counting down, and the winding road eventually opened up to beautifully-lit scenic lookout. Isolated from nearby residences, it felt safe to finally pull over for photos — my last lap around an Audi, camera in hand, for the day. The blue-over-gray color scheme may not have spoken to me, but the subtlety of the Audi’s appearance did. It didn’t scream performance like its platform-mate Urus, it didn’t scream anything at all. Just a crossover, like any other, that happened to have the power, finesse, and plushness I needed.

Audi, right now, is at an awkward growth period in its career. It went all in on EVs, walked that back, and is now trying to differentiate from its competitors with “tech” while offering the same features many of them do — plus $13 wallpapers for your center console. There isn’t much reason to choose an Audi over the German competition, who specialize more in performance or comfort.

But, in the SQ8, Audi has found appeal. By its middling virtue — its refusal to do anything unique — it becomes a standout in a crowd of tryhards. It’s a jack of all trades, but sometimes that’s exactly what you need — something that just gets the job done, for a broad definition of “job.” Out of Audi’s top-tier crossover lineup, the SQ8 has the best sales pitch. It’s the crossover for real people.