Un chauffeur de camion gagne 34 millions de dollars après que Walmart l’a faussement accusé de fraude et l’a licencié alors qu’il était en congé médical

Après qu’un accident a blessé le chauffeur, Walmart l’a accusé de fraude à l’indemnisation des employés et l’a licencié.

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Image: Walmart

Un Sud Chauffeur de camion en Californie qui Walmart a licencié après l’avoir faussement accusé d’indemnisation des accidents du travail fraude a été récompensé de plusieurs millions par un jury.

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Le Bulletin quotidien de l’Inland Valley rapports que Jesus Fonseca était chauffeur de camion commercial au centre de distribution d’Apple Valley de Walmart pendant plus de 14 ans jusqu’à ce qu’il soit blessé lorsqu’un véhicule a percuté son camion par l’arrière. Il a déposé une réclamation pour accident du travail et a demandé à Walmart de le placer en service restreint. Walmart ne l’a pas écouté.

Après que Fonseca ait été soigné à l’hôpital pour ses blessures, il a déposé une demande d’indemnisation des accidents du travail et a été évalué par un médecin toutes les quelques semaines à partir de juin 2017 pour modifier ses restrictions de travail, selon la poursuite.

Les restrictions de travail imposées à Fonseca changeaient parfois, mais incluaient généralement l’interdiction de pousser, de tirer ou de soulever plus de cinq à dix livres ou de conduire des véhicules commerciaux. Bien que ces restrictions aient été communiquées à la direction de Walmart, elles n’ont pas répondu aux besoins de Fonseca, ont fait valoir ses avocats.

Le lendemain de l’accident, Fonseca a été placé en congé de maladie et Walmart n’a pas exploré d’autres tâches qu’il pourrait effectuer, selon la poursuite. Même si Fonseca a demandé qu’on lui permette d’effectuer des tâches modifiées et a demandé s’il pouvait effectuer des tâches de bureau dans un poste de bureau, il n’a pas été autorisé à le faire, selon la poursuite.

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Juste avant l’accident, Fonseca avait prévu deux voyages en famille, ce dont il aurait informé Walmart, selon ses avocats. Il avait un certificat médical avec des restrictions qui incluaient des choses comme ne pas conduire, se pencher ou se baisser, ce qui, selon Fonseca, signifiait interdire la conduite de véhicules commerciaux, pas pour son usage personnel. Ses avocats affirment que Walmart a interprété les restrictions différemment et a engagé un détective privé qui l’a trouvé pendant son voyage et l’a vu conduire un camping-car et se pencher et se baisser.

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Début 2018, la direction de Walmart a convoqué Fonseca pour l’interroger, l’interrogeant essentiellement sur un « rapport » qu’ils avaient reçu et qui indiquait qu’il avait fait des choses interdites par les médecins pendant ses vacances. On lui a finalement dit qu’il avait commis une fraude et qu’il serait licencié.

Fonseca leur a dit qu’il ne pensait pas avoir fait quoi que ce soit de mal car les restrictions l’empêchaient de conduire des véhicules commerciaux et qu’il pensait pouvoir conduire pour des raisons personnelles, selon la poursuite.

Il n’avait plus parlé à personne chez Walmart de la fraude signalée, jusqu’à ce qu’un responsable l’appelle en mars 2018 et lui dise que Fonseca était accusé de fraude et serait licencié pour « faute grave et manque d’intégrité », selon la poursuite.

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Fonseca dit qu’il a tenté de parler avec le vice-président des transports de Walmart au sujet de son licenciement, mais le vice-président a refusé parce qu’il était « représenté par un avocat en indemnisation des accidents du travail”. Après son licenciement, Fonseca n’a pas pu trouver un autre emploi car il a dû divulguer qu’il avait été accusé de fraude aux indemnités des travailleurs. Fonseca a donc poursuivi Walmart pour « discrimination fondée sur le handicap, défaut d’adaptation à son handicap, défaut de participation à un processus interactif, représailles et défaut de prévention de la discrimination, le tout en violation de la loi sur l’équité en matière d’emploi et de logement ».

Il a également accusé l’entreprise d’avoir maintenu un environnement de travail hostile, des licenciements abusifs et un stress émotionnel. Un jury lui a donné raison et il a obtenu 25 millions de dollars en dommages et intérêts punitifs et 9,7 millions de dollars supplémentaires pour les « pertes futures et passées ». L’avocat de Fonseca, David deRubertis, a déclaré qu’il espérait que le verdict marquait le début d’un changement chez Walmart, mais qu’il pensait également que ce qui avait été fait à Fonseca faisait partie de quelque chose de plus important contre tous les chauffeurs de camion de l’entreprise.

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« Nous pensons que les preuves présentées au procès ont montré que la diffamation de Walmart à l’encontre de Jesse faisait partie d’un stratagème plus vaste visant à utiliser de fausses accusations pour forcer les camionneurs blessés à retourner au travail prématurément ou, dans le cas contraire, à les licencier afin que Walmart puisse réduire les coûts d’indemnisation des accidents du travail. »

Walmart est bien sûr en colère. Qualifiant le verdict de scandaleux, l’entreprise a déclaré qu’elle allait prendre « d’autres mesures » dans cette affaire. « En conséquence, nous poursuivrons tous les recours disponibles. »

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Ce contenu a été traduit automatiquement à partir du texte original. De légères différences résultant de la traduction automatique peuvent apparaître. Pour la version originale, cliquez ici.

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