Vous, les lâches, n’avez pas le courage de conduire une Caterham au Nürburgring

Montez à bord pour une balade en caméra embarquée qui vous laissera fasciné

Nous pouvons gagner une commission sur les liens sur cette page.
Image de l'article intitulé Vous, les lâches, n’avez pas le courage de conduire une Caterham au Nürburgring
Capture d'écran: corners cz

Parfois, vous vous n’avez pas besoin de dialogue dans votre court métrage pour le rendre captivant. Cette vidéo de course au Nürburgring, avec une Caterham 340R avec loin plus d’adhérence que de puissance, est un nouveau point haut pour moi dans la critique cinématique YouTube. L’éclairage et le développement des personnages laissent un peu à désirer, mais le film choisit un lieu magnifique et un protagoniste énigmatique à capter notre attention pendant la durée intégrale de neuf minutes et cinq secondes.

Publicité

Si j’avais le choix, je louerais une salle de cinéma pour une projection complète de ce film en boucle pendant une heure. Chaque visionnage est plus puissant que le précédent, notamment parce que ce type a le cran de tout laisser sur la bonne voie. Vous ne le faites pas. Aucun d’entre nous ne le fait.

Caterham Seven 340R : y a-t-il assez de puissance pour la Nordschleife ? 👀

La majeure partie de la journée touristique de ce film sur la Nordschleife est consacrée à la recherche d’une Porsche Cayman GTS de location Ring Freaks (449 Euros pour 2 tours), bien qu’il soit clair que le poids plume britannique a le dessus sur l’allemand à moteur central dans le domaine serré et technique. Une adhérence prodigieuse et un poids sur route inférieur à 1 300 livres confèrent à cette voiture un sérieux avantage au freinage et à l’adhérence latérale, mais le manque de dynamisme L’aérodynamisme des années 1950 et le moteur Ford Duratec 2 litres de 165 chevaux signifient qu’il ne peut pas rivaliser avec la Porsche lorsque la route devient droite. Alors que la Caterham peut rester en place pendant la majeure partie du tour, la Cayman le laisse pour mort une fois qu’elle atteint la Döttinger Höhe, par exemple.

Publicité

Il y a quelque chose de tellement viscéral dans le fait de piloter une minuscule machine à roues quasi ouvertes sur cet immense circuit de 12,944 miles. Il y a si peu de choses qui séparent le pilote des influences extérieures, qu’il s’agisse du vent, du bruit ou des glissières de sécurité. Vous n’avez pas ce qu’il faut pour faire ne serait-ce qu’un tour de piste dans une voiture dépouillée comme celle-ci. Prouvez-moi que j’ai tort.

Ce contenu a été traduit automatiquement à partir du texte original. De légères différences résultant de la traduction automatique peuvent apparaître. Pour la version originale, cliquez ici.

Publicité